Formes dynamiques

Le geste sculptural et le principe de la variation

Auteurs-es

  • Marion Colas-Blaise Université du Luxembourg, Luxembourg

DOI :

https://doi.org/10.18145/signifiances.v4i1.261

Résumé

Résumé

Faisant dialoguer la phénoménologie avec la sémiotique, l’anthropologie et la théorie de l’instauration, cet article s’interroge sur le devenir et la dynamique des formes, captées soit dans leur succession, soit dans leur co-présence. L’analyse des dessins préparatoires de Tony Cragg permet de mettre en avant la trace, en relation avec l’expression ou expressivité et une logique non plus représentative, mais présentative. Il s’agit alors de distinguer des instances d’énonciation (participante, subjectale et subjective) personnelles ou impersonnelles, mais aussi de penser l’interaction avec des matériaux et de prendre en considération les déterminations par un environnement social et culturel (représentations doxiques, normativisations), entre réexpression « instituante » et invention de nouveaux possibles. 

 

Mots-clés : instances d’énonciation ; formation ; trace ;  dessins préparatoires ; variante

 

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Publié-e

2021-01-25